Nature Majestueuse,
tant de fois ai-je oublié ta grâce,
l'éternelle promesse de tes doux espaces,
cet ailleurs aux effluves gracieuses.
Je t'offre ma nature imparfaite,
mes volontés désuètes,
l'innocence est mon parchemin,
pour me retrouver au creux de tes mains,
La tendresse mon visa
pour ton Ananda
et déjà je sens vibrer en moi
cette chaleur aux pétales de joie.
Je t'offre mes chants émerveillés,
mes yeux mouillés de joie
par cette étreinte retrouvée,
oh toi douce mère aux mille bras.
Depuis mon coeur partent des milliers de couleurs
qui rejoignent tous nos coeurs,
dans ce Noël ensoleillé,
Par nos tendresses entremêlées.
Ariane